L’avenir
est prêt à vous recevoir

Une crise des soins de santé sévit dans le Nord de l’Ontario.

La population du Nord de l’Ontario, environ 800 000 âmes, a besoin en ce moment de plus de 350 médecins pour régler des pénuries immédiate. C’est difficile à imaginer, mais statistiquement, les gens du Nord vivent moins longtemps et sont en moins bonne santé que ceux du Sud.

L’Université de l’EMNO, la toute première université autonome de médecine du Canada, fait tout ce qu’elle peut pour aider à dépêcher des médecins là où le besoin est le plus grand.

L’avenir est prêt à vous recevoir

L’avenir est prêt à vous recevoir

L’avenir est prêt à vous recevoir

L’Université de l’EMNO a un plan.
Elle a besoin de votre aide.

Nous devons alléger le fardeau des droits de scolarité et mettre la population étudiante du Nord sur un pied d’égalité.

À la fin de ses études, notre population étudiante est deux fois plus endettée que celle des autres écoles de médecine du Canada. Ce n’est pas parce que nous coûtons plus cher, c’est parce que nous recrutons dans le Nord, pour le Nord et que typiquement, les gens de la région ne disposent pas des mêmes moyens financiers et sociaux que ceux du Sud.

Ensemble, nous recueillerons les 50 premiers millions de dollars pour le Fonds de dotation étudiante de l’Université de l’EMNO.

L’aide qu’apporte votre don.

Lorsque vous faites un don à l’Université de l’EMNO, vous :

  • dites à 800 000 Ontariennes et Ontariens que leur santé compte;
  • prônez l’équité en santé pour les Autochtones et les francophones;
  • épaulez de futurs professionnelles et professionnels de la santé qui resteront probablement dans le Nord;
  • investissez dans une université sans but lucratif qui ne fait pas d’excès et est financièrement responsable;
  • établissez une dotation qui profitera à perpétuité à la population étudiante;
  • appuyez une université de médecine et de recherche de calibre mondial;
  • êtes au premier rang des personnes qui œuvrent pour la justice en matière de santé dans le Nord de l’Ontario.

Cela vous concerne.

Peu importe où vous résidez, vous méritez la dignité d’avoir accès à des soins de santé respectueux de la culture prodigués par une personne qui comprend vos circonstances uniques, ce qui inclut des gens qui vivent dans le Nord.

C’est ici que nous entrons en scène.

L’Université de l’EMNO et plus de 90 communautés partenaires ont créé des possibilités d’apprentissage et des partenariats novateurs sur mesure conçus pour combler des lacunes particulières dans les régions rurales, autochtones, francophones et insuffisamment desservies du Nord.

L’avenir des soins de santé dans le Nord
sera ce que nous le faisons.

Questions fréquentes

Q. : Que faites-vous différemment des autres écoles de médecine?

Oui et non. Même si elle est devenue la première université autonome de médecine du Canada en 2022, l’École de médecine du Nord de l’Ontario mène des recherches importantes dans le Nord et produit des professionnelles et professionnels de la santé de calibre mondial depuis 2005. Dès juin 2022, nous avons décerné 838 grades à des médecins dont 65 sont Autochtones et 171 francophones. Plus de la moitié sont restés dans le Nord de l’Ontario. En outre, 769 médecins ont suivi une formation dans nos programmes de résidence, et 178 diététistes ont obtenu des qualifications ici. Nous estimons qu’environ 340 000 personnes ont bénéficié de l’aide d’une diplômée ou d’un diplômés de l’Université de l’EMNO jusqu’à présent.

Q. : La population étudiante ne peut-elle pas payer ses études?

L’Université de l’EMNO a été établie dans le but de régler la pénurie de médecins dans le Nord de l’Ontario. Elle est décentralisée, ce qui signifie que nous limitons les dépenses en immobilisations et nous concentrons plutôt sur l’immersion de notre population étudiante dans les communautés de la région. Nous attaquons de front le problème de l’injustice des soins dans les communautés autochtones, et pour ce faire, nous admettons le plus fort taux d’étudiantes et étudiants autochtones du pays. En fait, nous avons aussi établi le premier Centre pour la responsabilité sociale du Canada. Au moyen du leadership stratégique et de la défense des intérêts, de la recherche et de l’innovation ainsi que de la formation en médecine bien alignée sur les besoins communautaires, le Centre se met en première ligne de l’amélioration durable de l’équité, de l’accès et des résultats pour la santé.

Q. : Je vis dans le Sud de l’Ontario. En quoi ce problème me touche-t-il?

Notre population étudiante peut souscrire des prêts bancaires importants pour couvrir les coûts de la formation en médecine. Cependant, beaucoup de nos étudiantes et étudiants qui s’installent dans le Nord gagnent en fin de compte moins d’argent que leurs homologues du Sud. Les médecins du Nord doivent « s’occuper de tout » mais ont la même structure de facturation que ceux des régions urbaines denses où des ressources médicales complémentaires allègent leur charge de soins. Un moyen d’inciter les médecins à rester dans le Nord est de les aider à couvrir le coût de nos programmes.

Q. : Je vis dans le Sud de l’Ontario. En quoi ce problème me touche-t-il?

L’injustice en santé sévit aussi chez vous. En ce moment, la crise dans les soins de santé touche des milliers d’Ontariennes et Ontariens. Le Nord a un besoin criant de plus de 350 médecins et d’autres professionnelles et professionnels de la santé. C’est le problème permanent et multigénérationnel d’une sombre vérité : la population du Nord de l’Ontario est toujours plus malade et vit moins longtemps que celle du Sud. Nous avons les plus forts taux de toxicomanies, de troubles mentaux, de cardiopathies, de cancer et de diabète de la province. Et en plus de l’insécurité alimentaire, des avis de faire bouillir l’eau et des problèmes d’infrastructure, cette injustice sanitaire rampante est amplifiée dans les communautés des Premières Nations. C’est une question de justice sociale dans laquelle chacun de nous à un rôle à jouer.